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3 janvier 2011

Le premier

Le premier, tu es parti, pour attraper le dernier train. Et du moment où tu es parti au lendemain, je n'ai pas quitté mon lit, ou si peu.

Je n'avais qu'une envie. Que tu viennes te glisser près de moi et que tu me serres jusqu'à ce que le blues passe.

Bon, à la place, tu m'as fait un impromptu de sortie le lendemain. Pas pire.

Mais quand même.

Juste ça.

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Commentaires
V
J'ai du mal à y croire encore, Hadès. Je pense qu'il y a trop de choses qui le retiennent pour que ça se fasse un jour. Il doit se prendre pour mon grand frère. Fuck.<br /> <br /> Betty, merci, bonne année à toi aussi même si je ne suis pas très férue des voeux. Et puis, comme pour Hadès. Je suis dans une série de jours où je n'y crois pas.
H
Bonjour Vénus<br /> <br /> Me revoici après la fin de ces "fêtes" que je déteste au plus haut point. Et je te retrouve encore en souffrance, en attente de lui. Comme un mal qui t'occupe, t'envahit toi et tout ton espace, ta vie et tout ton temps. j'exagère sûrement mais quand on aime tant (et j"y suis passé et on est tous pareils) quand on aime tant donc , il ou elle prend toute la place, est partout, tout à la fois sources de bonheur , d'espérances et de leurs douloureux contraires.<br /> <br /> Je souhaite un jour prendre un café à la terrasse d'un bistrot. Tu seras là avec lui et vous vous embrasserez amoureusement devant moi. Je n'aime pas les épanchements publics mais je ferai une exception pour toi. <br /> <br /> Je ne te souhaite que çà et je t'embrasse (comme un grand , grand frère (pas par la taille ou alors celle du cœur!).
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