Je crois

... que ce lieu n'a plus lieu d'être.

Parce qu'il n'y aura pas d'autrement, entre nous.

Stupéfaction : tu crois vraiment que tout ça ne posait pas question. Même si tu t'en posais.

Je t'ai fait un mal de chien, comme tu m'en as fait.

Et samedi on se retrouve. Pour reprendre notre chemin d'amitié. Celui qu'on a démarré il y a bientôt 6 ans.

Ca ne sera pas simple, tous les jours. Il y aura toujours quelque chose qui sonnera bizarre, pour moi. Mais sans toi, comme ami, la vie, j'peux pas.

Et toi, et bien toi non plus, tu me dis.

Alors à samedi.

Quant à ce blog, il voit sa fin, je pense. Il reste ouvert un peu, pour relire les archives, parfois. Peut-être que j'en aurais besoin, certains jours. Merci Hadès, tout particulièrement. Et les F, les H, Nad et Wed. Vous savez où me trouver ailleurs (oui ça va rouvrir).

Comments

[Venus]

Hadès, moi non plus je ne le comprends pas. Mais on a décidé de parler tous les deux, samedis, pour au moins essayer de se comprendre sur ce point particulier. Pour le reste...

Pfff. Si je te dis que je n'y crois pas beaucoup ? Rebondir, oui, mais...

Bref.

Moi aussi je t'embrasse

[Hadès]

Je fais allusion bien sûr à la chanson de Brassens. Sans désillusion. Au contraire. Un jour viendra où tu te moqueras, toi aussi de ton 22 septembre. Et c'est tant mieux. On a tous eu les nôtres et selon la violence de la passion, la vie, le parcours de chacun il peut parfois se passer plusieurs années avec un 22 septembre noir au compteur et puis le temps...Tu vas devoir donc te contenter du peu. Ce n'est pas un challenge facile que celui que tu choisis mais je te comprends. Lui par contre je ne comprends pas son fonctionnement. Les mots, les gestes, le temps passé au soleil ou sous la couette pour ne pas vivre cet Amour? Jamais vu çà.

Tu vas rebondir. Tu as de la gnaque comme on dit ici.

A bientôt

Et va voir "Tous les soleils" comme je te l'ai conseillé ailleurs...

Je t'embrasse tendrement ma Vénus.

[Venus]

Pour les trucs croustillants, je ne sais pas. J'ai pas de place pour autre chose, pour le moment. Je crois que n'importe quel homme aurait un défaut majeur : n'être pas lui.

Mais je me garde le droit d'être surprise, bien sûr.

J'ai hâte de parler avec lui, irl. Parce que j'ai frappé fort et donné des coups, mais il faut vraiment qu'il m'explique comment il peut concevoir n'avoir pas mal agi avec certains gestes.

Ce qui compte, c'est la certitude absolue que l'un sans l'autre, ça n'a pas d'intérêt. Amis, j'entends. C'est le fondement. Mais bon.

Merci à toi de ta présence. Et j'ai hâte que tu me racontes le truc...

[Nad]

Après avoir lu "telle une espionne" pendant de longues semaines, je sors de l'ombre et te remercie de la confiance donnée en dévoilant ces instants de toi, de lui, de vous!

L'amitié est tant plus précieuse que le reste, votre dialogue n'en sera que bénéfique.

(et j'espère qu'un jour tu réouvriras un autre espace avec des trucs croustillants - plus tard, une fois, lorsque)

On se retrouve dans les autres lieus, donc

[Venus]

Pas de problème, wed. On va faire les connasses en mai. Et si on picole trop, pas impossible qu'il m'arrive de dire des trucs de hippie, aussi. Déjà que sans...

Merci. Ca fait du bien,