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Ailleurs & Autrement
1 avril 2011

C'était bien la fin.

Et je ne regrette rien.

Mais à ce niveau de déni, je ne peux plus rien pour toi. Même toi, je ne crois pas que tu puisses te "sauver toi-même".

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Commentaires
W
question conne, mais il y a t il vraiment une fin aux choses qui n'ont jamais réellement débuté ? - et c'est bien pour ça que c'est fort.
V
C'était pas moi, la réponse à betty, Hadès.<br /> <br /> Mais pas terrible, non. Pour le moment ça reste coincé, mais j'y reviendrai. Tu verras à quel point le mur de Berlin était perméable en comparaison...
H
Mauvaise nuit encore puisqu'à 3H00 tu étais devant ta bécane pour répondre à Betty. <br /> Quand je parle du mur de Berlin je pense bien sûr à celui qu'il a construit tout seul, croyant se protéger mais en fait se détruisant et détruisant l'autre (toi) et aussi les autres. Son réveil sera difficile. Pour toi aussi c'est dur mais tu es en capacité,au peu que je sais de toi par nos échanges, tu es en capacité de rebondir, la fameuse résilience chère à Cyrulnik.<br /> <br /> Il n'empêche qu'il faut quand même le passer ce moment et la souffrance est là.Parles en, écris la et surtout ne reste pas isolée.<br /> <br /> A bientôt
H
Les mots ne me viennent pas Vénus. Je suis triste de ta tristesse et rien de ce que je pourrai te dire sur tes lendemains ne pourrait apaiser ta douleur. Prends ta cromignonne et serres la fort dans tes bras. Quand elle se sera endormie, caresse doucement ses cheveux, comme un souffle de vent. J'ai fait çà quand ils étaient petits et que j'étais triste et çà me redonnait de la force.<br /> <br /> Je suis là et je reviendrai, ici ou ailleurs. J'avoue ne pas comprendre autant de désespoir construit comme un mur de Berlin des sentiments.<br /> <br /> Accroches toi ma puce.<br /> Je t'embrasse
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