TU NE REAGIS PAS...
Quelques perches tendues ces derniers jours, auxquelles tu ne réagis pas. Tu réponds, ailleurs, à côté, gentil, mais tu ne réagis pas.
J'ai mal de la vérité vraie. J'ai mal de savoir que tu m'aimes "bien", mais que tu ne m'aimes pas. Que ma frontière dans notre relation, c'est la morale, que la tienne, c'est l'absence de désir d'autre chose.
En même temps je croise mon reflet et ... oué, je peux comprendre, va.
Mais dans les jours où je ne pense qu'à toi, ça m'est une vraie douleur, que de te voir esquiver. En même temps, merci de ne pas me faire mal. Sans doute, tu te dis que ça serait bien que j'arrête, non ? Ne pas devoir provoquer LA discussion, en attendant faire comme si j'étais tellement subtile qu'on peut ne pas voir ?
Que je suis conne, mais que je suis conne...