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1 octobre 2007

BON ALORS METTONS

Mettons que l'autre fois, c'était un coup des coussins de l'expo qui étaient trop mous, que t'as pas fait exprès, que machin truc chouette, bref, y avait rien là-dessous.

L'autre soir (nuit), je me demandais ce que tu te disais quand on est côte à côte au point de sentir nos chaleurs respectives. Peut-être que tu es emmerdé, tout simplement, que tu te dis que ça serait  bien que je me pousse un peu, moi qui n'ait pas l'excuse de dépasser des sièges (en longueur, en tout cas). Peut-être que tu es gêné et que tu ne sais pas comment le dire. Peut-être que tu t'en fous, que tu ne remarques pas.

Deux choses qui m'ont frappée. Ton "je te dois déjà... tant de choses". Plaisanterie, bien sûr. Mais... tu sais il y a des plaisanteries qu'il vaudrait mieux ne pas me faire, c'est dangereux pour ma tachycardie.

Et puis tu me disais que tu n'étais pas content de toi, de ne pas faire ce qu'il faudrait que tu...

J'aurais aimé que tu me dises plus, histoire de ne pas sombrer dans les plus purs délires inutiles, tu sais. Mais bon, il faut respecter le droit au silence de l'autre.

Je t'ai senti embêté de mon passage à vide en tout cas, ça me touche, bien sûr. Et puis c'était bizarre cette façon de se dire au revoir vite mais en traînant, enfin c'est moi qui me raconte des trucs, là, je crois.

Du coup je t'ai réécrit. Je ne sais pas ce que tu vas penser de mon post scriptum. En même temps ça peut tout vouloir dire et ça ne dit rien de compromettant.

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