6 novembre 2006
UN PAS DE RECUL
Tu te fais un peu oublier ces derniers jours... j'en profite pour souffler, pour profiter de la sérénité quand je pense à toi à ta vraie place...
Je sais que ça n'est qu'une rémission.
Je sais que dans quelques heures, quelques jours, quelques semaines, j'aurais de nouveau ton visage en surimpression permanente...
Et ça sera à la fois très bon et très douloureux. Et surtout très inutile, je crois.
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