26 août 2005
ETIREMENT RELATIF
Les heures s'allongent parce que je sais que dans quelques jours tu seras rentré.
Et que j'espère je verrais de nouveau des traces de toi tous les jours, ou presque.
J'essaie de ne pas trop m'en réjouir car je connais les tracas des rentrées et je risque de guetter en vain les premiers jours de la semaine.
On se lit lundi ?
Vite, vite...
Publicité
Publicité
Commentaires