A quoi ?
On joue de nos blagues à nous deux, qui nous font rires et des occasions de rigolades à tiroirs. J'aime ça, tu t'en doutes.
Tu me remercies pour mon mail, tu me dis que tu as une réponse en cours. J'ai hâte, bien que je sache qu'il ne serait pas raisonnable d'attendre avec trop d'impatience.
Je t'y demande à quoi tu penses quand tu pars de chez moi. Et je me demande sans te le demander ce que tu penses de moi quand tu penses à moi. Il y a des mots, je sais, que tu mets dedans. Tu parles parfois de générosité, j'imagine que tu penses tendresse, mais quoi d'autre ? Quand tu parles de moi, tu dis quoi ? Curiosité qui ne sert à rien.
Réminiscence d'un moment où tu m'expliquais que tu avais raconté à L. et son mari nos clowneries autour des fumets de casserole, que ça les avait fait rire, et tu as précisé d'où ça venait et avec qui, alors je me demande jusqu'où tu as été avec le récit de ma vie et nos entrecroisements, quand tu leur parlais de nous.
Bref. On s'en fout.
T'ai mis insidieusement sur la piste de mon blog au cas où tu ne le lirais pas régulièrement. Il y a des choses que j'aimerais bien que tu y lises :)
Hey, tu sais ? Je t'aime. Gratos.