14 décembre 2006
SILENCE
Tu me manques cruellement, aujourd'hui.
Je sais que ton silence n'a rien de personnel, j'imagine que tu es assommé de travail, comme on l'est souvent du côté de ton bureau, surtout avant des vacances.
Mais quand même, ça fait vide, ça sonne creux, et j'ai envie de te lire.
Heureusement on se voit vite...
Publicité
Publicité
Commentaires