21 septembre 2006
EMBROUILLEE
Je m'en veux d'avoir le cerveau à l'envers en ce moment.
Je te guette, tu me manques, je m'agace de ton absence de réaction, je m'engueule de trop t'envahir.
Je me réjouis aussi de cette soirée à venir. Quand ?
C'est encore une de ces phases où je bascule côté coeur, tentée, rêveuse de toi, malheureuse comme les pierres quand je me croise dans le miroir, quand je pense à la réalité, aux faits, au mot jamais, à ce que je suis et ce que je voudrais être, à la part du rêve,...
J'espère que je ne te suis pas trop agaçante. Surtout. J'espère que tu m'aimes un peu, juste un peu.
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